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Commentaire
Mustapha Fahmi est écrivain, professeur de littérature anglaise à l’Université du Québec, spécialiste de la Renaissance anglaise et plus particulièrement de l’œuvre de Shakespeare. Il se saisit de la pièce de Shakespeare "Antoine et Cléopâtre" pour en livrer un commentaire émaillé de réflexions et de références philosophiques.
- "On sort du cadre de la narration classique. Spécialiste de Shakespeare, l'auteur explique la pièce et à partir de là propose des concepts philosophiques. C'est une philosophie bienveillante, généreuse et légère qui suscite de belles réflexions." - "C'est léger, facile et gratifiant, mais ce n'est pas de la philosophie. L'auteur fait des emprunts à tout le monde. J'éprouve des sentiments mitigés mais pas très positifs." - "Ça n'a rien à voir avec la philosophie. " - "Au contraire, l'auteur nous explicite : voilà ce que Shakespeare a voulu dire. On ne peut pas enlever les aspects philosophiques de l'œuvre de Shakespeare." - "J'ai été attiré par le titre et par le travail sur la pièce de Shakespeare. Mais je m'attendais à autre chose. Il m'a manqué une préface entre autres. J'aurais aimé savoir comment le texte et la beauté de Cléopâtre avaient été reçus, avoir une proposition d'explication entre la beauté de Cléopâtre et Kant. Et pourquoi ces pages blanches ? Je reste sur ma faim. On aurait pu travailler davantage sur la pièce et sur la façon dont les écrivains ont réagi par rapport à ce texte." - "J'aime bien la forme de ce livre que j'ai bien apprécié. Ce n'est pas un travail universitaire, ni sur la littérature ni sur la philosophie. Les références que fait l'auteur m'évoquent les liens qui se font en psychanalyse. C'est en effet léger mais ça me va aussi d'avoir ça en léger, ça me fait du bien." - "Il en a été de même pour moi, j'ai eu beaucoup de plaisir à lire ce livre. Il est très accessible, ça m'a fait du bien. Il est bienveillant, j'ai beaucoup aimé." - "Surprise. J'ai été piégée par le titre et la couverture. Bravo à l'auteur et à l'éditeur québécois. Je croyais retrouver Cléopâtre, César, Antoine … à Alexandrie. Non, ce n'était pas la reine que l'Institut du monde arabe célèbre cet été, mais la Cléopâtre philosophique de Pascal. Passés les premières pages et un certain agacement, j'ai suivi avec plaisir le chemin de l'auteur. Ce n'est pas la Cléopâtre historique, mais qu'importe." - "Essai un peu surprenant car c'est un texte hybride entre poésie, réflexion philosophique et commentaire éparpillé de la pièce de Shakespeare. On ne comprend pas bien où il emmène le lecteur. Je me suis un peu ennuyée en cours de route. J'avais l'impression que l'auteur perdait de vue la pièce pour s'intéresser à tout ce que celle-ci lui évoquait, puis y revenait... J'aurais souhaité en savoir plus sur la pièce elle-même, alors que c'est surtout sur la figure symbolique atemporelle que le livre s'appesantit (si j'ai bien compris). Néanmoins c'est un texte plus agréable à lire qu'un commentaire savant, plus léger aussi qu'un essai philosophique (car le traitement de la "beauté" est un peu léger !)" - "La forme est étonnante mais agréable, ça se lit bien. Le fond aussi, partir de la beauté de Cléopâtre et de ses amours avec Antoine pour poser des questions philosophiques, c'est original et stimulant. J'ai tout de même eu le sentiment que l'aspect philosophique n'est pas très approfondi (par exemple la culpabilité est un peu vite expédiée : "c'est ce que nous ressentons lorsque nous transgressons les limites à l'intérieur desquelles nous avons choisi volontairement de nous comporter")." - "Le livre m'a bien plu aussi par son côté léger et un peu vagabond. Le rapport entre César et Brutus est intéressant, je n'avais jamais compris Brutus, dont on nous explique qu'il voulait empêcher César de devenir dictateur." EventList powered by schlu.net Copyright © 2025 120 Grand'Rue. Tous droits réservés.
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